28 avr. 2010

Avis littéraire


Je viens de finir de lire
Le Café de l’Excelsior, de Philippe Claudel, et comme pour 'La petite fille de Monsieur Linh', j'ai apprécié l'écriture, le choix des mots de l'auteur.
Il décrit ici une vie d'enfant révolue, un passé sans retour.
Ce court roman m'a replongé dans des souvenirs de lectures de jeunesse : les allumettes suédoises, 3 sucettes à la menthe.
Philippe Claudel pourrait certainement tout raconter, il le ferait avec des mots justes, touchants, sans jamais tomber dans la 'sensiblerie' d'auteurs 'à succès pas toujours mérité'.
Avec Laurent Gaudé, il illustre une écriture un peu 'au dessus de la mêlée' sans jamais être prétentieuse, ni inaccessible. Je vais donc continuer à lire le reste de son oeuvre.

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